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    Le Qi Gong des 5 animaux ( Wu Qin Xi ) est un enchaînement inventé par un célèbre médecin chinois qui vivait durant la période 110 – 207 ap jc . Les techniques imitaient, la grue, le tigre ( ou dragon ), le cerf ( ou léopard), l'ours, le singe (ou le serpent ).Chaque animal est relié à un des 5 éléments ( ou mouvements ) de la théorie chinoise ex …. tigre bois, cerf feu, ours terre, grue métal, singe eau. La technique martiale pour chaque animal est : la saisie pour le tigre, l'agitation pour le cerf, la paume pour l'ours, trancher pour la grue, piquer pour le singe.

    La forme du tigre à une action stimulante sur le foie, le cerf sur le cœur, l'ours sur la rate et l'estomac, la grue sur les poumons, le singe sur les reins.


     


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  • yang-lu-chan

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

       Taiji Quan Yangjia Michuan

        L'origine du Taiji Quan remonte à la plus haute antiquité ( 5000-3000 ans avant l'ère chrétienne) ; aussi est-il difficile de déterminer avec précision le date de son apparition. Nous savons que le Taiji Quan plonge ses racines dans la théorie du Yin /Yang. Dans la philosophie et les techniques taoïstes  de longévité de la chine ancienne. Dans un texte de Laozi , il est dit : << concentrez-vous sur le développement de l'énergie pour atteindre le plus haut degré de souplesse >>, ce qui demeure le but ultime du Taiji Quan.

     

        Les techniques de cet art ont été transmises à Han Gongyué, Cheng Lingxi et à Cheng Bi de la dynastie des Liang ( 502-557 ),à Xu Xuanping, Li Daozi, Yin Lixiang ainsi qu'à d'autres experts de la dynastie des Tang (618-907). Elles se sont développées durant toute cette période en un art martial qui portait le nom de Chang Quan ( la longue boxe ) pour marquer son aspect ininterrompu.

     

        Xu Xuanping était originaire du district de Xi dans la provins de Huizhou ( l'actuel Anhui ). Vers la fin de sa vie, il se retira au Mont Ziyang pour y vivre en ermite.

     

        Li Daozi était était originaire de la province de d'Anhui. On dit qu'il vécut plus de 1000 ans. Il quitta le vie publique sous les Yuan (1271-1368) pour se retirer au Temple Nanyan au Mont Wudang ( provins du Heibei ). Il eut pour élève Zhang Sanfeng, le fondateur légendaire du Taiji Quan, auteur du classique taiji de Sanfeng. Ce dernier conserva le nom de Chang Quan pour désigner l'art qu'il pratiquait.

     

       Zhang Sanfeng

     

       D'après le Nan Leiji, ouvrage de référence de la dynastie des Qing (1644-1911) l'épithaphe de la tombe de Wang Zhengnan mentionne : Zhang Sanfeng, alchimiste du Mont Wudang de la dynastie des Song (960-1279). Le Ming Shi ( Histoire officielle de la dynastie des Song 1368-1644), contient une courte biographie de Zhang Sanfeng.

     

        Zhang Sanfeng enseigna à Wang Zongyue qui vécut sous la dynastie des Ming à Xian dans le Shenxi . Wang devint très connu à cause du haut degré de perfection qu'il avait acquis dans son art, et aussi parce qu'il était l'auteur des ouvrages suivants : La théorie du Taiji, éclaircissement pour la pratique des 13 postures, le champ du Tuishou, le champ des postures, etc.

     

        Wang Zongyue transmit son art à Chen Tongzhou ( provins du Zhejiang). Puis la transmission continua à l'ère Jiaqing sous la dynastie des Ming avec Zhang Songxi et Ye Jimei qui, à son tour enseigna à Shan Sinan. Ce dernier eut pour élève les membres de la famille Yang du district de Yongnian, dans le préfecture du Guangping dans le Hebei. Actuellement les deux styles Yang et Chen constituent les deux piliers du Taiji Quan.

     

        La famille Chen

     

        Le style Chen du Henan, apparu entre la fin de la dynastie des ming et le début de la dynastie des Qing, il s'appelait la boxe longue, elle comprenait trois enchaînements dit du Pao Chui ( canon, massue). Cette technique gagna en efficacité grâce à jiang Fa qui préconisait le développement et l'utilisation de la force interne, mais elle ne portait pas encore le nom de Taiji Quan.

     

        Yang Luchan (1799-1872)

     

        Le fondateur du style Yang, Yang Luchan ( surnommé Fukui). Il pratiqua d'abord toutes sortes d'arts martiaux dont le Chang Quan (longue boxe), le Hong Quan , dans lesquels il était un expert remarquable.

     

        Il voyagea beaucoup en quête de connaissance sur le taoïsme et découvrit les classiques. Ainsi, leur étude approfondie, leur compréhension et leur mise en application pratique lui permirent d'atteindre de brillant résultats. Ses progrès en efficacité martiale furent fulgurant.

     

        Les pratiquants d'arts martiaux, à mesure que leur art s'affine, souhaitent toujours se confronter à d'autres experts. A cette époque, le style Chen du village de la famille de Chen (Chenjiagou) dans le Henan, était renommé dans toute la région. Aussi Yang Luchan se mit en route pour rencontrer les membres du clan Chen. Cependant, ceux-ci le refusèrent comme élève. Et, même en présentant une lettre pour être admis comme disciple, il ne fut pas accepté par le clan des Chen qui n'admettait aucune autre personne qui ne portait pas le nom de la famille. Alors Yang Luchan se déguisa en jeune sourd-muet nouvellement arrivé et un peu perdu dans la région, et se fit présenter aux Chen en vue d'entrer à leur service.

     

        Il fut engagé. Confiant il rentra donc au service des Chen en pensant qu'il pourrait obtenir les secrets de leur technique. Il ne s'attendait pas à ce que la maison des Chen fût si vaste et constituée d'un entrelacs de cours intérieures séparées par de nombreuses portes sévèrement contrôlées. Aussi, au bout d'un an et demi, il ne pouvait toujours pas pénétrer dans la cour centrale puisqu'il travaillait dans la cour extérieure. De plus, les disciples restaient muets quant à leur boxe, ce qui fait qu'il n'apprit rien durant ce temps. Pourtant, Yang Luchan ne regrettait rien et continuait à travailler avec ardeur.

     

        Au cours de la deuxième année, le gérant de l'école Chen, constatant que Yang Luchan était un jeune homme laborieux et discret en raison de son infirmité, lui accorda sa confiance et l'envoya travailler dans la cour centrale, ce qui permit à se dernier d'apprendre quelques choses sur l'art des Chen. En effet, les Chen pensant qu'il était sourd et muet discutaient sans méfiance à coté de lui de certaines postures, et d'exercices. En dépit de cela, il n'avait toujours pas pénétré les secrets de leur technique.

     

        Pendant ces deux années, le gérant de l'école Chen n'avait cessé d'observer discrètement le comportement de Yang Luchan, il ne le vit jamais exécuter le moindre geste martial. De plus, Yang Luchan n'avait aucunement l'apparence de quelqu'un qui venait les espionner mais plutôt celle de quelqu'un qui voulait gagner son voyage de retour. Le gérant finit donc par lui accorder sa totale confiance et l'envoya, la troisième année, travailler dans l'arrière-cour.

     

        Au cours des deux premières années Yang Luchan n'apprit pas grand chose et, bien que l'idée de partie germât dans son esprit, il décida de persévérer encore un an. L'arrière-cour était bien située, seuls les anciens disciplines chevronnés étaient autorisés à pratiquer dans ce lieu ; lors des pauses, ils écoutaient le chef de file Chen Changxing discourir sur la technique. Yang Luchan réalisa que c'était le moment au jamais de se monter très prudent afin de ne pas éveiller la méfiance des membres de la famille Chen, sinon tout échouerait. Aussi s'acharna-t-il encore plus au travail en arborant un air de total désintérêt envers les discours sur la boxe.

     

        De temps à autre, il entendait venir de la salle de pratique jouxtant l'arrière-cour les son << Heng et Ha >>, mais il ne savait pas ce que cela signifiait. Un jour, alors que la porte de la salle était entrouverte, il put observer ce qui s'y passait. Il réalisa que ces sons étaient émis au moment de la libération de l'énergie, déséquilibrant ainsi l'adversaire ( extériorisation de la force interne ).

     

        Cette année, passé dans la cour lui permit d'acquérir de nouvelles expériences ainsi que de nouvelles informations. Cependant, ce qu'il apprit fut loin de ses espérances par rapport aux acquisitions qu'il a pu avoir grâce à l'étude des classiques. Yang Luchan pensa donc qu'il n'y avait plus de raison de rester chez les Chen. Mais comment expliquer son départ ?

     

        L'occasion se présenta. Alors que le maître de maison, malade, était alité dans sa chambre, un incendie se déclara. Bien que le feu fût de faible importance, il n'était pas possible aux gens de la maison de pénétrer dans la chambre pour sauver le Maître. La situation était critique. C'est à cet instant que Yang Luchan se lança comme une flèche, pénétra dans dans la chambre, prit le maître sur son dos et le dégagea rapidement des flammes. Aussitôt, la foule se pressa aux côtés du maître de maison, craignant qu'il fût blessé, sans accorder la moindre attention à Yang Luchan. Profitant de la situation, celui-ci fit monter son Qi et s'élança sur le toit de la maison et, sans perdre un instant, il s'éclipsa sans laisser de traces.

     

        Voyant le Maître indemne, la foule réalisa avec étonnement l'excellence de la technique de Yang Luchan, et comprit qu'il n'était pas le prétendu sourd-muet arrivé par hasard dans la région, mais que son intention était bien de pénétrer la demeure des Chen dans le but de leur subtiliser leur art.

     

        Après discussion, tous décidèrent de poursuivre Yang Luchan pour le mettre à mort, mais le maître de maison les arrêta et leur dit << le sourd-muet nous a effectivement espionnés dans l'idée d'apprendre notre technique, et bien qu'il est enfreint les règles de la demeure des Chen, le résultat bénéfique a été de me sauver la vie. Laissez-le donc aller, ne le poursuivez pas >>. C'est ainsi que s'effaça dans l'esprit du clan Chen le désir de tuer celui qui pouvait trahir le secret de la famille.

     

        Après avoir quitté la maison des Chen, Yang Luchan parcourut le pays, se confronta avec de nombreuses personnes, et développa son style en faisant une synthèse entre sa formation d'origine, l'étude des traités et les connaissances acquises au cours de son séjour chez les Chen. Il ne rencontra jamais son égal. En un éclair sa réputation fit trembler et lui valut le beau surnom de << Yang l'invincible >>.

     

        A chaque fois qu'on lui demandait le nom de l'art martial qu'il pratiquait, Yang Luchan répondait en s'appuyant sur les principes de base développés dans les classiques. C'est ainsi que le nom de Taiji Quan apparut naturellement.

     

        Ce qui vient d'être exposé a été raconté par le Maître Zhang Qinlin lors de l'étude du Yangjia Michuan Taiji Quan. Cette version est différente de celle qu'on rapporte habituellement.

     

       Yang Luchan instructeur de la garde impériale.

     

       Sous la dynastie des Qing, les princes et de nombreux membres de la haute noblesse apprirent le Taiji Quan avec Yang Luchan. Il fut même l'instructeur de la garde impériale. Mais il ne tenait pas à transmettre à un clan étranger l'art qui l'avait rendu si célèbre, aussi enseigna-t-il une forme différente.

        De nombreux pratiquant d'arts martiaux d'écoles variées sollicitèrent ensuite sont enseignement. Craignant d'éveiller les soupçons des mandchous à son égard s'il transmettait la vraie forme, Yang Luchan dut continuer à propager le même style que celui enseigné aux mandchous, si bien que personne ne connut l'existence de son art véritable.

     

        Yang Luchan eut trois fils : l'aîné s'appelait Yi et mourut très jeune, le deuxième se nommait Yû et le troisième Jian. Yû et Jian étaient capable de prendre la suite de leur père.

     

        Zhang Qinlin ( 1888-1967 )

       

        La tradition secrète de l'école Yang de Taiji Quan a été transmise au professeur Zhang Qinlin par Yang Jianhou. Zhang Qinlin était originaire du Xingtai dans la provins du Hebei. Il naquit 24 ans avant la fondation de la république de chine ( 1888 ) et perdit ses parents très jeune. Malgré des conditions de vie très difficiles, il aimait pratiquer les art martiaux. A l'age de 12 ans, il fut admis chez Yang Jianhou comme élève et commença la pratique. Plus tard, Yang Jianhou, estimant que Zhang Qinlin avait de grandes capacités, le fit venir toutes les nuits chez lui pour lui transmettre la forme originelle de Taiji Quan. Ce fut là une véritable bénédiction pour le monde des arts martiaux.

     

        En ce qui concerne Wang Yen Nien, il est originaire de Taiyuan dans la province du Shanxi, il est né en 1914 et fut passionné par les arts martiaux dès sa plus tendre enfance, il apprit le Shaolin, le Xingyi et le Tan Tui. En 1932 son professeur de Xinyi, Xiuyi l'introduisit auprès de Wang Xinwu, secrétaire du Gouvernement du Shanxi et prfesseur de Taiji renommé. En1945 il fut présenté par son professeur de méditation taoïste,Zhang Maolin de l'école de la montagne d'Or à Zhang Qinlin qui lui enseigna le Taiji Quan de la transmission Secrète de la famille Yang ( Yangjia Michuan taiji Quan). Zhang Qinlin lui disait souvent que son frère aîné de pratique ( Su Qigeng ) et lui étaient les seuls dépositaires de ce style, et qu'ils devaient en faire grand cas en le conservant précieusement.

     

        Pour préserver l'essence du style Yangjia Michuan, pour éviter qu'il disparaisse, pour continuer à honorer la mémoire du célèbre Yang Luchan; Wang Yen-nien a fait apparaître 2 ouvrages illustrés, le premier sur l'enchaînement, et le second sur les applications martiales, Wang Yen-nien à également crée de nombreux réseaux de pratique à travers le monde, grâce à cela la pratique du Taiji Yangjia Michan s'est développé un peu partout sur la planète.


     


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  • montagne3

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       Le wing Chun

       Le Wing Chun, un style de Kung Fu des plus redouté en combat, les techniques sont courtes, les parades sont fluides, les contre-attaques fulgurantes, le système se compose de trois Taos seulement : Siu Nim Tao (voie de la petite idée), chum Kiu (faire un pont), et Biu tze (la main volante).

        Il comprend aussi le travail de self défense ; les chi sao (mains collantes), le mannequin de bois ; les jambes collantes ; les coteaux papillons, et bâton du dragon.

        Le Wing Chun fut conçue par une nonne appartenant au  temple Shaolin du mont Fukien, cette nonne s’appelait Ng Mui et  vécut au XVIIIème siècle. Elle élabora sa pratique d’après un autre style de boxe qui s'appelle le Baï He Tang  (boxe de la grue blanche) de manière à être efficace sans avoir besoin d’être très forte physiquement.

        Ng Mui avait une élève du nom de  Yim Wing Chun, et il est dit que c’est son mari  (Leung Bock Cho) qui codifia le style et l’appela du nom de son épouse, ce qui donna le style Wing Chun Chuan que l’on peut  traduire par Poing du printemps radieux.

     

     


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         Dan tian supérieur

        Le Dan Tian supérieur est lié au concept du Shen,  conscience organisatrice d’essence céleste s’exprimant dans l’ensemble des fonctions de l’organisme lui permettant de communiquer et d’être en constante adaptation avec ce qui l’entoure. Le Dan Tian supérieur associé à la tête donc au ciel est en étroite relation avec le cœur, car le cœur coordonne et contrôle le psychisme, il est responsable de la cohérence de la personnalité et s’exprime dans les aspects les plus diverses de l’intelligence, particulièrement dans la capacité à faire face à certaine situation et à trouver les bonnes solutions de manière  à s’adapter correctement aux éléments extérieur.  

        La tête pour les taoïstes se trouve être l’océan du Jing et de la moelle, que l’on peut rapprocher symboliquement au lac céleste, il est dit qu’à l’intérieur de ce lac il y a un palais de cristal qui se trouve relié au monde des étoiles, il est en quelque sorte le réceptacle de la lumière spirituelle céleste.

        Le lac céleste et le palais de cristal se trouvent au centre et en contre bas de la montagne Kun Lun représenté par 9 sommets. Le palais englobe la région de l’hypophyse, l’épiphyse, l’hypothalamus, et le thalamus.

         Lors de la pratique supérieure du travail alchimique quand le ciel et la terre sont enfin en communion et que la gauche et la droite se rassemble il se forme au niveau du palais de cristal selon la tradition un élixir de longue vie absorbé du monde céleste (représenté par l’étoile polaire, et la grande ourse) conditionné et polarisé par l’ouverture du troisième œil  (glande pinéale). Cet élixir de longue vie ou liqueur de jade, a la réputation de s’écouler vers le palais de la mâchoire supérieure appelé aussi le réceptacle céleste (XuanJi) puis vers la langue et la salive. Une fois avalé il aurait le pouvoir de régénérer l’organisme.

        Il est intéressant de remarquer que lorsqu’on observe la région du palais de cristal au centre du cerveau, en coupe et par image numérique on distingue très nettement que cette partie qui est en quelque sorte le bouton d’extension de la colonne vertébrale ressemble à la tête d’un cobra dont la glande pinéale se trouve être au centre et à l’arrière de celui-ci (voire glande pinéale sur Wikipedia). http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Pineal_gland.gif

         Le palais de cristal est aussi appelé << Ming-Tang>>, il représente le palais au centre du monde où réside l’empereur, et est aussi appelé << la maison des calendriers>>, il est en fait le temple de la lumière à l’intérieur duquel se trouverait 9 pièces qui sont associées au carré magique chinois donné à l’Empereur Yü sur le dos d’une tortue.  Le pourtour de Ming-Tang est pourvu de 12 ouvertures, 3 pour chaque côté du carré, ce qui nous met en relation avec les 12 signes du zodiaque et le voyage du soleil dans ce cycle. Il est dit que l’empereur opérait une sorte de circonvolution dans le sens solaire à travers les palais du Temple céleste puis revenait se positionner au centre de celui-ci ; le centre bien sur représente le point d’équilibre (l’axe terre ciel) là ou plus aucune contrainte n’est manifestée. (Voire, la grande triade de René Guénon)

          Le Palais de cristal pourrait correspondre à la Jérusalem céleste telle qu’elle est décrite dans l’apocalypse avec ses 12 portes et sa position centrale au centre du monde rénové de ses déséquilibres. Cela nous ramène immanquablement à la voie du milieu, voie centrale dressée comme un I majuscule puis comme un point lorsque tout est en équilibre, et qui disparait certainement à la finalité du cycle.

     


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